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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 14:37

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Résumé  Le 1er avril 1978, Murakami décide de vendre son club de jazz pour écrire un roman. Assis à sa table, il fume soixante cigarettes par jour et commence à prendre du poids.

S'impose alors la nécessité d'une discipline. La course à pied lui permet de cultiver sa patience, sa persévérance. Courir devient une métaphore de son travail d'écrivain.

Journal, essai, au fil de confidences inédites, Murakami nous livre une méditation lumineuse sur la vie, qui, comme la course, ne tire pas son sens de sa fin inéluctable.

 

Mon avis  Tout comme Le passage de la nuit - Haruki Murakami se différencie de ses autres livres de par son style d'écriture particulier, celui-ci se démarque par sa forme. Ce livre n'appartient pas au genre du roman mais à l'autoportrait, le narrateur est donc Murakami lui-même et non pas un personnage fictif. Cet autoportrait est un moyen de se rapprocher un peu plus de l'auteur.

                  Mais on est en train de parler d'Haruki Murakami! pas d'un quelconque écrivain, son autoportrait n'est donc pas classique. Il crée son autoportrait en se basant sur une activité qui a eu des répercussions sur son mode de vie: la course de fond. C'est finalement une petite leçon de vie qu'il nous donne à travers ce livre. Il explique que la pratique du sport lui permet de vivre une vie saine. Ce petit livre se lit facilement et fait passer un bon moment.

 

Conclusion  Grâce à une activité qui tient au coeur de Murakami, soit l'activité sportive, on en apprend plus sur cet auteur qui dans mon esprit est revêtu d'un voile de mystères. Murakami donne de lui dans ce livre puisqu'il en est le principal objet. Son style épuré qui va a l'essentiel, nous donne des informations sur sa personne sans que cela ne lui monte à la tête. Au contraire, on y découvre un homme qui malgré sa célébrité reste assez timide, humble, tout simplement humain.

 

Plumemagique

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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 13:00

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Résumé  Conteur hors pair, Haruki Murakami explore dans ces 23 nouvelles délicatement ciselées, une multitude de mondes oscillant perpétuellement entre le réel et le rêve. Parmi ces vies suspendues, de troublants portraits: un homme d'affaires hanté par son premier amour, un couple adultérien réfugié sur une île grecque, un homme obsédé par les spaghettis, ou encore un gardien de nuit poursuivi par son reflet, ... Qu'ils guettent un présage ou un miroir, la mort ou un kangourou, tous sont empreints d'une mélancolie poétique qui nous fascine et résonne en chacun de nous.

 

Mon avis  Et oui, vous ne rêvez pas, encore du Haruki Murakami! Quand y en a plus, y en a encore, comme on dit. Je commence à perdre le compte du nombre de livres de cet auteur que j'ai dans ma bibliothèque... Enfin, quand on aime, on ne compte pas. Décidément je suis d'humeur bavarde et philosophe aujourd'hui, il y a des jours comme ça.

                  Bon, venons-en aux choses sérieuses et parlons donc de ce livre ici présent. A première vue j'avoue que ce livre ne m'a pas emballé, et ce pour plusieurs raisons. Premièrement la 1ère de couverture. Le titre interpèle mais n'est  pas du tout évocateur. Saules aveugles, femmes endormies? A quoi voulez-vous penser avec un titre pareil? J'ai eu beau réfléchir un certain temps je n'ai pas réussit à perçer le sens de ces mots. Ce titre n'est pas un titre qui recouvre l'ensemble des 23 nouvelles mais seulement la première, ce qui ne nous aide pas plus à imaginer le contenu des suivantes. Il y a aussi l'illustration de la couverture qui ne m'a pas "appellée" plus que ça. Une femme vêtue d'une robe blanche, recroquevillée, avec des orchidées déposées sur son dos. Je ne sais pas vous mais moi ça ne m'évoque rien du tout. Et puis pour continuer la liste de ce qui ne m'attirait pas dans ce livre, c'est tout simplement le support d'écriture qui est celui de la nouvelle. C'est tout à fait personnel, mais je n'aime pas ce genre. Pas au point de le détester, c'est juste que je l'évite. Je trouve que ce genre amène plus de questions que de réponses. Style assez court et bref, avec diverses chutes. J'ai souvent l'impression arrivée à la fin de l'une d'elles d'être frustrée. La nouvelle s'arrête là où j'aimerais qu'elle continue de plus belle.

                  Autant d'éléments qui semblent montrer que ce livre ne m'a pas plut. Mais je n'ai parlé là que de son apparence extérieure et non de son contenu. Bien que son apparence ne m'ai donc pas séduite, je l'ai lu car son auteur n'est autre qu'Haruki Murakami. Et puis il faut aussi savoir s'ouvrir aux choses dont ont a pas forcément l'habitude, pour moi les nouvelles.

                 Ce qu'il y a de bien avec les recueils de nouvelles, comme de poèmes d'ailleurs, c'est qu'on peut en lire une, faire une pause, en lire une autre, ... Quoiqu'en fait je l'ai presque lu d'un trait. Nous retrouvons donc encore une fois l'univers propre à Haruki Murakami dans lequel la frontière entre réel et irréel est toujours très mince, et se brise parfois complètement.

                Je ne vais pas vous dire ce que j'ai pensé de chacune des nouvelles, ce serait trop long, et s'il vous arrive de le lire vous sauriez déjà ce qu'elles contiendraient et dans ce cas-là autant ne pas l'acheter. Je ne vous dirais que quelques remarques. Deux des 23 nouvelles ont un rapport direct avec deux de ses romans. La nouvelle "les chats mangeurs de chair humaine" apparaît dans son roman Les amants de Spoutnik (voir Les Amants du Spoutnik - Haruki Murakami ) dans un article de journal que liront les personnages du roman. "La luciole" est elle une partie intégrante du roman La ballade de l'impossible. La nouvelle "hasard, hasard" a elle pour narrateur Murakami lui-même qui nous parle d'expérience qu'il a eut.

 

Conslusion  Les nouvelles sont vraiment diverses et variées. Il y en a pour tous les goûts. Certaines sont plus aboutient que d'autres, certaines plus réalistes, d'autres encore totalement déjantées. Elles constituent toutes les retrouvailles avec le style si particulier d'Haruki Murakami.

 

Plumemagique

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 14:48

http://blog.matoo.net/wp-content/uploads/2010/12/le_passage_de_la_nuit.jpg

 

 

Résumé  Dans un bar, Mari est plongée dans un livre. Elle boit du thé, fume cigarette sur cigarette. Surgit alors un musicien qui la reconnaît. Au même moment, dans une chambre, Eri, la soeur de Mari, dort à poings fermés, sans savoir que quelqu'un l'observe.

                  Autour des deux soeurs vont défiler des personnages insolites: une prostituée blessée, une gérante d'hôtel vengeresse, un infromaticien désabusé, une femme de chambre en fuite.

                  Des évènements bizarres vont survenir: une télévision qui se met brusquement en marche, un miroir qui garde les reflets ...

                  A mesure que l'intrigue progresse, le mystère se fait plus dense, suggérant l'existence d'un ordre des choses puissant et caché. Le temps d'une nuit, Haruki Murakami nous entraîne dans un Tokyo sombre, hypnotique, aux prémices d'un drame.

 

Mon avis Ce livre se démarque des autres livres d'Haruki Murakami. Il est étonnant de constater qu'au final le sujet central de ce roman est le sommeil et à travers lui le temps. Chaque personnage entretient un rapport différent avec le sommeil. Mari n'arrive pas à dormir et tente de s'occuper l'esprit en lisant un livre dans un café, sa soeur Eri dort ,elle, bien plus qu'elle ne le devrait. J'en suis venue à la conclusion que si Mari n'arrivait pas à dormir c'était à cause de sa soeur, qui elle, dormait trop. Si Mari avait réussit à dormir cette nuit-là, ce livre n'aurait peut-être pas vu le jour! Le temps a lui aussi un rôle primordial. On peut d'ailleurs voir le sommeil comme une des déclinaisons du temps. La temporalité de ce roman est inhabituelle. Ce livre d'une centaine de pages ne se déroule en fait que sur un seul et même jour, c'est dire qu'il s'en passent des choses en 24h!

                 Le style d'écriture est lui aussi original. C'est là qu'arrive la minute Plume-est-en-terminale-littéraire! Le point de vue adopté est omniscient, ce qui n'est pas exceptionnel en soi. Ce qui l'est en revanche c'est que ce point de vue est traduit par l'utilisation du "nous". Après tout pourquoi pas. Mais voilà, il y a alternance entre le "nous" et des passages où nous avons accès aux pensées des personnages écrient au "je" qui se mélangent. Il faut souvent un petit temps d'adaptation pour saisir qui est en train de parler.

                Du côté des personnages principaux, les soeurs Mari et Eri sout comme le jour et la nuit. On retrouve le stéréotype des deux soeurs que tout semble séparer. On connaît le caractère d'Eri et sa vie grâce à Mari et non aux passages consacrés à Eri seule qui ne nous apprennent presque rien d'elle. Mari, jeune femme studieuse, pas confiante en elle, renfermée envie sa soeur qui elle est tout ce qu'elle n'est pas. Mais à la fin du livre ce schéma s'inverse: en réalité c'est Eri qui envie Mari.

              Cette nuit sera révélatrice pour Mari. Tous les évènements qui s'enchaînent n'ont qu'un but: le rapprochement de Mari et de sa soeur. Elle lui permettra aussi de prendre conscience qu'elle est aimée.

 

Conclusion  A chaque nouveau roman D'Haruki Murakami son lot de découvertes. Voilà encore un petit bijou de cet auteur. On retrouve des thèmes récurrents comme l'onirisme, sa marque de fabrique, un fond philosophique, mais ceux-ci sont inlassablement revisités, réutilisés pour créer un livre à part entière et on en redemande encore!!

 

Plumemagique

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9 juillet 2011 6 09 /07 /juillet /2011 17:03

http://storage.canalblog.com/45/81/148617/53379452_p.jpg

 

 

 

Histoire  K. est amoureux de Sumire, mais celle-ci n'a que deux passions : la littérature et Miu, une mystérieuse femme mariée. Au sein de ce triangle amoureux, chaque amant est un satellite autonome et triste, et gravite sur l'orbite de la solitude. Jusqu'au jour où Sumire disparaît... Les Amants du Spoutnik bascule alors dans une atmosphère proprement fantastique où l'extrême concision de Murakami cisèle, de façon toujours plus profonde, le mystère insondable de l'amour.

" Ceux qui n'ont jamais lu cet auteur-culte au Japon découvriront une langue limpide, fluide, presque éthérée, une manière diaphane de raconter une histoire en semblant effleurer les choses et les êtres. Jusqu'à ce qu'un incident, un souffle, brouille la surface et nous entraîne vers les profondeurs indéterminées de l'onirisme. " Pierre Sorgue, Télérama

Mon avis  Vous l’aurez sans doute remarqué (ou alors je me permet de vous le faire remarquer) deuxième article que je fais sur un roman et deuxième livre d’Haruki Murakami. Etant donné que j’ai fais le plein il y a quelques jours et que j’en ai acheté 3 dont celui-ci, et que d’autres attentent patiemment que je leur fasse un article, vous n’avez pas fini de souper du Haruki Murakami j’en ai peur ;) Quand on aime, on ne compte pas ! (ça c’était pour la petite touche philosophique du jour, y a des jours comme ça).

Bon venons-en maintenant à ce qui nous intéresse, autrement dit Les Amants du Spoutnik. Le centre de ce roman est constitué de notre trio Sumire, Miu et K. et leurs relations. Voici un passage du livre qui résume parfaitement la situation entre ces trois personnages : « cette femme (Miu) aimait Sumire, mais n’éprouvait aucun désir sexuel pour elle. Sumire aimait cette femme et la désirait. Moi (K.), j’aimais Sumire et la désirais. Sumire m’aimait bien, mais elle n’était pas amoureuse de moi et n’éprouvait aucun désir sexuel à mon égard. De mon côté, j’étais capable de ressentir du désir pour une autre femme, mais pas de l’amour… Tout était si compliqué ! ».

Comme d’habitude, ce roman a aussi un côté onirique mais celui-ci ne s’aperçoit qu’à la moitié du récit. La première partie est relativement ordinaire, ne sort pas des sentiers battus. On apprend petit à petit les liens qui relient les personnages, leurs caractères, leurs quotidiens. Puis les 100 premières pages passées on bascule à nouveau dans un monde entre le réel et l’irréel. Sumire disparaît et Miu appelle K. à l’aide pour retrouver la jeune femme. Miu lui racontera ce qui s’est passé avec Sumire et il lira les textes que Sumire a tapper sur son ordinateur la veille de sa disparition. K. est alors entraîné dans le tourbillon de l’irréel. Puis il retournera à sa vie de tous les jours, mais cette expérience l’aura changer intérieurement. Et une trentaine de pages plus loin voilà que la jeune disparue réapparait en lui passant un coup de téléphone !

Conclusion  Nous retrouvons donc ici le monde d’Haruki Murakami avec des thèmes comme la limite entre réel et irréel, l’homosexualité, l’amour, et toujours une pointe de philosophie et de recherche de notre identité (p 81 : « qui étais-je ? Qu’attendais-je de la vie, et vers où voulais-je aller ? »).

 

 

Plumemagique

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29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 15:07

Kafka sur le rivage

 

 

http://ecx.images-amazon.com/images/I/41ZbaD3l-aL._SL500_AA300_.jpg 

 

Histoire  Kafka Tamura, quinze ans, fuit sa maison de Tokyo pour échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre lui. Nakata, vieil homme simple d'esprit, décide lui aussi de prendre la route, obéissant à un appel impérieux, attiré par une force qui le dépasse. Lançés dans une vaste odyssée, nos deux héros vont croiser en chemin des hommes et des chats, une mère maquerelle fantomatique et une prostituée férue de Hegel, des soldats perdus et un inquiétant colonel, des poissons tombant du ciel, et bien d'autres choses encore. Avant de voir leur destin converger inexorablement et de découvrir leur propre vérité.

 

Mon avis  C’est le 3ème roman que je lis de cet auteur, mon premier article sera donc sur celui-ci car c’est le dernier en date que j’ai lu, je ferai un article sur les autres ultérieurement. Comme dis plus tôt c’est le 3ème roman d’ Haruki Murakami que je lis, dans cet optique il semble donc logique que cet auteur me plaît sinon je n’aurais pas lu d’autres livres de ce-dernier.

 

    On ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre avec les romans d’Haruki Murakami, d’autant plus avec celui-ci. Il nous peint un monde extravagant et plutôt dérangé à certains moments, si bien que l’on ne sait jamais si le récit appartient au réel ou à l’irréel. L’atmosphère est donc surnaturelle et les personnages qui la peuple tout autant. A la fin du livre, on se demande si un seul des personnages était « normal ». Un homme à l’allure extravagante qui tue des chats pour créer une flûte ensorcelée, un vieil homme devenu idiot après un accident qui parle aux chats et de lui à la troisième personne, un homme qui n’est en fait qu’un concept et peux appeler sur un portable même si celui-ci est éteint, un jeune camionneur pas très intelligent qui commence à aimer écouter du Beethoven, … Il y a tout un jeu sur les identités, et à certains moments on s’y perd. On ne s’est plus qui est qui ni qui fait quoi. Tous les personnages et les évènements sont liés par un fil invisible tout au long du récit. Une minute l’histoire se déroule dans le Japon du XIXème siècle et la modernité qui la constitue et celle d’après on se retrouve au fin fond d’une forêt en compagnie de soldats disparus depuis des années.

 

    A première vue, ce livre n’est qu’un conte onirique moderne mais il est en fait bien plus profond que cela. A travers lui, ce sont des sujets bien plus importants qui sont traités comme l’identité d’une personne, la présence du destin, la mort, la famille, l’amour. En cela ce récit à un aspect philosophique et réfléchit sur des sujets toujours d’actualité. On y retrouve aussi comme dans ses autres romans des scènes érotiques très explicites.

 

Conclusion  A la fin de la lecture, lorsqu’on referme ce roman on n’arrive pas vraiment à saisir les émotions qui nous traversent. Et la dernière page ne nous y aide pas non plus. A-t-on aimé ? Détesté ? Il me semble que la réponse à cette question est vraiment personnelle et que les deux extrêmes sont possibles. Personnellement, ce roman m’a plu justement par son étrangeté et c’est avec plaisir que j’ai retrouvé le monde un peu déjanté d’Haruki Murakami. Au moins maintenant vous savez à quoi vous attendre  

 

 

( J'ai même réussit à parler de ce livre pendant mon oral de français, j'avoue que j'étais pas peu fière ^^ )

 

Plumemagique

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 14:26

http://fashionistina.files.wordpress.com/2011/05/mini.jpg?w=397&h=581

 

Résumé :

La maternité, Becky la voyait comme dans les magazines : elle en Fashion Mummy, courant les boutiques avec son bébé ultralooké, sage comme une image. Dans la réalité, Minnie est une vraie tornade capable de dévaster un magasin entier si on lui refuse quoi que ce soit. Mini-accro, certes, mais surtout aux caprices ! Dur dur pour la pauvre Becky.
Un malheur n'arrivant jamais seul, Luke embauche une nounou un peu trop parfaite, la maison de leurs rêves leur passe sous le nez et la crise financière freine dangereusement toute velléité de shopping.

Heureusement, quand la situation semble désespérée, notre fashionista préférée a toujours plus d'un tour dans ses sacs...

 

 

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La plus fashionista des héroïnes fait son grand come back !! Il y avait longtemps que l'on avait plus entendu parler de Becky Brandon (née Bloomwood !). Et voilà qu'elle revient plus fashion que jamais flanquée de son adorable fille, Minnie, une accro du shopping version mini-size.

Dès le début du roman, on est emmené de nouveau dans l'univers de Becky. On retrouve les personnages attachants des autres livres, et on y découvre la délicieuse et fantastique Minnie, toute aussi attachante.

Le roman se trouve donc à la fois centrée sur Becky, toujours aussi incroyable mais aussi sur les exploits de sa fille, ce qui donne aux préripéties une nouvelle fraîcheur.

Sophie Kinsella, toujours aussi adroite, ne nous laisse pas de répit, il y a toujours de l'action, du rire, bref le même cocktail que les aventures précédentes de Becky.

Résultat : Avec moi, ce livre n'a tenu qu'un jour ! Une fois entré dedans, on ne peut plus s'en passer !

 

 


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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 20:27

http://images.blog-24.com/1030000/1028000/1027505.jpeg

 

La célèbre égyptologue Christiane Desroches-Noblecourt est décédée hier, a-t-on appris. L'annonce a été faite par son éditeur.

Christiane Desroches-Noblecourt était une égyptologue mondialement connue, de part ses livres, mais surtout pour son combat afin de sauvegarder des tembles menacés par le barrage d'Assouan.

 

Adieu à cette grande dame, dont le livre "La mystérieuse reine Hatshepsout" m'a énormément plu.

Ca fera un grand vide dans la communauté des égyptologues ...

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 20:19

http://www.tendanceouestrouen.com/afp/images/photo_1308835556241-2-0.jpg

 

Mon premier article commencera avec la fameuse annonce de JK Rowling !

Très attendue, elle a tenue en haleine de nombreux fans, qui imaginaient déjà le retour de leur héros favori dans une 8ème tome.

 

Malheureusement pour eux, JK Rowling a précisé qu'elle n'écrirait pas de suite de la célèbre saga. Pourquoi faire une annonce alors ? Eh bien, notre cher ami Harry a trouvé un nouveau moyen pour faire apparaître de l'argent ! A l'heure où tout se numérise, Harry va lui aussi se retrouver piégé dans l'ordinateur ! En effet, JK Rowling a annoncé le contenu du mystérieux site "Pottermore" !

 

Le site nous proposera d'acheter les versions numérisées des aventures du sorcier à lunettes, et nous fera plongé de nouveau dans son univers fantastique ! Au programme : après une série de questions, le fan se verra attribué une baguette et ira dans l'une des quatres de maisons de Poudlard, pourra jeter des sorts et ainsi aura accès à des nouvelles informations sur son héros préféré.

 

Un site merveilleux ? C'est à voir ... ! En effet, pour la plupart, l'inscription au site ne sera accessible qu'en octobre ! Néanmoins certains "chanceux" ont pu s'inscrire dès aujourd'hui et participés à des défis, même si ils n'auront véritablement accès au site qu'à partir du 31 juillet, date de l'anniversaire de Harry.

 

Les fans auront-ils la patience d'attendre ? Le site est-il plus un coup de pub qu'un "plus" pour les fans ?

Encore une fois toutes ces questions n'auront de réponse qu'en octobre ... Ca va dur de patienter !

 

Coming Soon ...

 

http://2.bp.blogspot.com/-4NuXsIwow3A/TfpSiAOl4tI/AAAAAAAAEHU/mERFI3tsKEs/s1600/Pottermore.jpg

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